Auteur/autrice : ACTUNGOLO TV.
RDC /IXES JEUX DE LA FRANCOPHONIE : Le collectif de 14 anciens agents du CNJF lésés dénonce la tentative de détournement de leurs arriérés de salaires et indemnités de sortie estimés à plus de 500 Mille Usd par la direction nationale des Jeux de la Francophonie et interpelle le Président de la République et la Première ministre
Rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD
Kinshasa, le 08/08/2024
Dans leurs différentes correspondances adressées à la ministre déléguée de la coopération internationale et Francophonie, Bestine KAZADI et au ministre d’État, ministre de la justice et garde des sceaux, Constant MUTAMBA, datées respectivement du 18 juin 2024 et du 28 juin 2024 dont les copies ont parvenues à la presse, ayant pour objectif « réclamation des arriérés de salaires et indemnités de sortie », les 14 agents signataires de ces correspondances ayant mouillé leurs maillots pendant plus d’une année avant d’être remerciés en monnaie de singe à deux mois seulement du démarrage des jeux de Kinshasa, sans motif et sans notification, par un arrêté ministériel discriminatoire et controversé du VPM Christophe Lutundula à l’initiative unilatérale du directeur national des jeux,Isidore Kwandja.
Ils dénoncent ce qu’ils qualifient de tentative de détournement de leur droit acquis, une enveloppe estimée à plus de 500.000 dollars américains, représentant un état des sommes total de leurs arriérés de salaires et indemnités de sortie.
Ils pointent du doigt accusateur la direction nationale des jeux de la Francophonie pilotée par Isidore Kwandja, secondé par Thomas Makanzu, directeur national adjoint chargé de l’administration et des finances, Bertrand Kabongo, directeur national adjoint chargé de la programmation et de suivi des opérations et Freddy Kadiata, directeur national adjoint chargé des questions techniques et informatiques suite à leur comportement qualifié d’inhumain,de cynique et d’anti-patrie.
Ils dénoncent également la gestion opaque des directeurs des jeux qui, malgré tout demeurent toujours impunis. Ces derniers se sont servis prioritairement et ont servi la plupart des anciens agents du Comité national des jeux de la Francophonie (CNJF) depuis mi-juin 2024. Et ce, en méconnaissant ou ignorant sciemment ce groupe d’agents, pourtant engagés par l’arrêté ministériel
N° 0011/CAB/MIN/IRF/2022 du 01 avril 2022 portant désignation des membres des départements et commissions des IXES Jeux de la Francophonie, signé par Me Didier Mazenga, alors ministre de l’Intégration régionale et Francophonie et qui ont presté normalement pendant plusieurs années sans aucun reproche pour la réussite de ce grand événement voulu par le Chef de l’État.
Deux poids deux mesures
Ce refus manifeste motivé, certes,par mauvaise foi de ces dirigeants qui agissent, très souvent, selon leurs propres humeurs et sentiments personnels ne se justifient
aucunement, alors que d’autres cas litigieux similaires à celui de 14 agents discriminés, venaient d’être réglés récemment sans tergiversations en faveur des anciens membres le de la direction de la programmation et proches collaborateurs de l’ancien directeur adjoint, feu le Professeur Damien Pwono qui étaient aussi révoqués à 5 mois seulement de la tenue des jeux de la Francophonie qui ont touché derrièrement leurs salaires et indemnités de sortie.
Il en est de même de certains proches collaborateurs du directeur national adjoint Thomas Makanzu qui ont été aussi virés, sans motif valable, au même moment que les 14 agents lésés, ainsi ceux qui n’ont presté que pendant deux mois du démarrage des jeux et pendant les 10 jours des jeux ont, aussi, bénéficié des indemnités de sortie alors qu’ils n’en ont pas droit pour n’avoir pas totalisé plus de 6 mois de service au sein du Cnjf, sans oublié les agents du protocole d’État et des services de sécurité accrédités pour donner prêter main forte au CNJF pendant les 10 jours des jeux moyennant des primes journalières, ont, indûment et curieusement, aussi, bénéficié des indemnités de sortie sans aucun sou-bassement justificatif légal, si ce n’était que pour plaire à leurs soi-disants protecteurs
Ce non-paiement injuste et injustifié prejudicie beaucoup ces anciens agents du CNJF qui, pour la plupart, n’ont plus d’emplois décents à ce jour, alors que c’est argent pouvait leur servir de préparer la rentrée scolaire et académique de leurs enfants et subvenir à d’autres besoins de la famille tels que les arriérés des loyers et la ration, le salaire ayant un caractère social et alimentaire.
Voilà pourquoi, ne voyant à quel saint se vouer, ces compatriotes qui ont servi la nation avec abnégation et dévouement au sein du CNJF tournent leur regard vers le Chef de l’État, initiateur de cet ambitieux projet d’organisation à Kinshasa des jeux de la Francophonie,de la Première ministre Judith Suminwa, de la ministre déléguée à la coopération internationale et Francophonie Bestine Kazadi et du ministre d’État, ministre de la Justice et garde des sceaux Constant Mutamba qui, heureusement ont été saisis de ce dossier litigieux.
Leurs interventions auprès du comité de pilotage des jeux de la Francophonie et du Comité national des jeux de la Francophonie qui se déclare être « intouchable » et « au dessus de la Loi » sont vivement attendues par les infortunés pour décanter leur situation afin qu’ils soient rétablis dans leur droit légitime.
Affaire à suivre !
C.P
RDC : Le Gouvernement Congolais dévoile des nouveaux horaires de travail établit dans la fonction publique
Par : Medi Manda
Rédaction : +243818143147
ACTU NGOLO TV HD
Le Gouvernement Congolais via le ministère de la fonction publique vient de prendre une décision pour améliorer les conditions de travail des agents et fonctionnaires de la RDC. Ce, à travers une note circulaire du 13 Juillet 2024 laquelle a été signée par le ministre de la fonction publique Jean Pierre Lihau.
Selon le patron national de la fonction publique,
Cet horaire est entrée en vigueur depuis le 01 Août 2024 après un long concessus obtenu avec les syndicalistes ou le début de l’heure de service est fixé à 8H00′ contrairement à 7H30′ comme il fut dans le temps cela pour mettre fin à 16H00′ tout en ayant une pause déjeuner de 12H00′ à 13h’H00′.
« Les agents de l’État doivent savoir que la semaine de travail passe ainsi de 6 à 5 jours donc de lundi à vendredi et le samedi devient une journée non ouvrable et payée sauf pour certains services spécifiques. Il est prévue aux agents de l’État un assouplissement des sanctions en cas de retard supérieur à 30 minutes qui prouverait que l’agent est absent », souligne Jean Pierre Lihau.
( … ) Pour les mères allaitantes, le nombre de demi-journée de repos a augmenté et pour mieux concilier la vie professionnelle et familiale des agents de l’État. Il est décidé de mettre en valeur ces mesures pour réformer progressivement le fonction publique Congolaise. D’où, Il est maintenant question de voir un changement correct qui sera appliqué de la part des administrations et services publics pour donner de la valeur aux décisions prisent lors de cette grande réunion, conclut-il.
Il sied de préciser que tous les agents et fonctionnaires de l’État sont appelés à travailler avec conscience car la décision du Gouvernement Congolais via le ministère de la fonction publique vient de résoudre certaines contraintes qu’ils avaient et cela leurs permettra de vaquer librement à d’autres occupations afin de compléter ce qui leur manquaient en familles.
RDC : La Police traque et maîtrise quelques suspects de l’attaque de la résidence de l’ex Président de la République Joseph Kabila Kabange à Gramalic
Par : Medi Manda
Rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD
Au total, 92 personnes parmi lesquelles 15 femmes, 07 bébés et 05 détenus arrêtées, c’est le bilan de la traque de la Police Nationale Congolaise lancée la nuit du Mercredi, 31 Juillet au Jeudi, 01 Août 2024 par les éléments de la Police Nationale Congolaise au quartier Gramalic dans la commune de Ngaliema à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
Selon les sources proches de la Police, tous les suspects ont été appreandé de suite des récentes attaques et incidents survenus devant la résidence de l’ancien Président de la République et Sénateur à vie Joseph Kabila Kabange où sa femme Olive Lembe Kabila en est sortie vie sauve.
« L’opération a débutée tôt ce matin et a conduit à l’arrestation du chef de bande de cette milice du parti au pouvoir connu sous le nom d’Anti Balle, ainsi que certains complices et commanditaires de ces violences, nous renseignent ses sources. Pendant cette opération, plusieurs objets facilitant ces fauteuils de troubles à commettre leurs actes inciviques ont été saisis notamment : une drone ainsi qu’une centaine d’armes blanches », nous renseignent ses sources Policières.
A les en croire : Cette milice alliée au parti au pouvoir s’est produit à moins d’un kilomètre du centre supérieur militaire, de l’école de guerre de Kinshasa et à deux kilomètres de la résidence présidentielle ( Cité de l’OUA ) où ces suspects ne craignent pas les hommes en uniforme. Et donc, la loi sera appliquée à tous ces Hors la loi car nulle n’est au dessus de la loi dit-on.
( … ) A travers la ville de Kinshasa, ces jeunes commettent de bavures sans jamais être interpellés par les services de sécurité. Dans certains endroits, ils érigent des barrières pour exiger un paiement à tout taxi qui passe sur ce trajet. Que les juges fassent leur travail sans complessance car la population en est marre pour ces genres de comportement, dénoncent ces sources.
Il sied de préciser que la population du coin de la capitale Congolaise salut la bravoure de la Police et souhaite voir les services de sécurité traquer aussi tous les vendeurs, producteurs et les consommateurs de la drogue car la consommation, vente et livraison se fait publiquement et cela est devenue leur mode de vie.
Maï-Ndombe : Aussitôt investi Gouverneur, voilà ce que Lebon Nkoso Kevani préconise pour sa Province
Maï-Ndombe : Aussitôt investi Gouverneur, voilà ce que Lebon Nkoso Kevani préconise pour sa Province
Par : SBM
Rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD
Le Gouverneur de la Province du Maï-Ndombe Lebon Nkoso Kevani s’engage à faire développer son entité qui sombre dans un sous développement qui ne dit pas son nom. Pour lui, pour assoir ce développement, il faut qu’il ait la paix, l’unité et la cohésion tribalo ethnique en évitant la division mais plutôt en prônant l’harmonie entre filles et fils de la Province du Maï-Ndombe.
D’entrée de jeu, il a exhorté aux uns et aux autres de taire leurs divergences entre autres les guéguerres politiques où politiciennes mais plutôt de penser comment travailler pour l’épanouissement du Maï-Ndombe qui accuse un retard de son développement. Il a insisté qu’il sera le Gouverneur de tous les Maï-Ndombiens et Maï-Ndombiennes sans distinction aucune. D’où, tous ceux qui ont combattus ensemble avec lui jusqu’à obtenir le pouvoir tous ses adversaires politiques devraient s’unir pour une seule cause donc le décollage du Maï-Ndombe.
Lebon Nkoso Kevani à promis que l’agriculture, la pêche et l’élevage; les routes de dessertes agricoles mais aussi l’électricité seront en priorité des piliers de son action Gouvernementale parce que le Maï-Ndombe produira et cette production devra sortir aux grands centres de consommation et de transformation. Il est temps d’aller vers le bien-être de la population par l’action Gouvernementale à mener au sein de la Province. Tous doivent mettre son attention sur les critiques du développement du Maï-Ndombe.
Le nouveau locataire du Gouvernorat du Maï-Ndombe a énuméré certaines urgences qui le préoccue pour soulager le bien-être de ces administrés notamment : le transport lacustre et fluvial suite aux embarcations non sécurisées que possède le Maï-Ndombe où il y a des morts en répétition dûes aux noyades où le dernier en date de deux mois passés où une quatre-vingtaine des passagers avaient péri.
Il ajoute aussi qu’il y a des infrastructures scolaires et sanitaires à réhabiliter et à construire y compris le problème de salaire des agents et fonctionnaires de l’État qui les banques commerciales posent problème. Où il promets d’installer la toute première Banque commerciale en Province car les démarches ont été déjà entreprises.
Politique : Augustin Kabuya Tshilumba débouté du poste de Secrétaire Général et Président ad intérim de l’UDPS / Tshisekedi
( Communiqué )
Par : Osée NGOLO
Rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD
Augustin Kabuya Tshilumba, Secrétaire Général et Président intérimaire du parti politique « Union pour la Démocratie et le Progrès Social » ( UDPS ) / Tshisekedi sera conjugué au passé. La décision vient de tomber le Jeudi, 25 Juillet 2024, au cours de la réunion hebdomadaire où ont pris part la Présidence ainsi l’Exécutif National du parti au pouvoir.
Dans cette décision, le Secrétaire National, Chef de Département et Porte-Parole du parti Présidentiel informe à l’opinion publique que Augustin Kabuya Tshilumba n’est plus Secrétaire Général de l’UDPS / Tshisekedi et son remplacement sera fait conformément aux Statuts de cette formation politique. Par ailleurs, il ajoute aussi qu’une réunion extraordinaire de l’Exécutif National élargie aux autres organes et structures du parti se tiendra le mercredi, 31 Juillet prochain à 14H00′ à la permanence, siège du parti à Limete.
» De la rencontre de la Présidence du parti avec les Députés Nationaux du parti, Membres effectifs de l’une des composantes de la Convention Démocratique du parti, l’Exécutif National du parti leur a fait savoir que la volonté de la base reste l’unique schéma à suivre. À cet effet, l’Exécutif National du parti a salué la compréhension de leurs élus du peuple « , renchérit il.
Pour rappel, l’UDPS / Tshisekedi se dit respectueux du sacro-saint principe de la pyramide renversée. Raison pour laquelle l’Exécutif National de celui-ci informe tous leurs membres que cette volonté exprimée par la base du parti, ne fera l’objet d’aucun compromis qui risque d’être une compromission.
Il sied de préciser que la Présidence du parti ainsi que l’Exécutif National informe toute la base que les bruins propagés par l’ex Secrétaire Général Augustin Kabuya Tshilumba en rapport avec une prétendue réconciliation et son maintien et en tant que Secrétaire Général sont faux.
Urgent : Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo investit le Gouverneur et Vice-Gouverneur de la Province du Maï-Ndombe
( Ordonnance Présidentielle )
Par : SBM
Rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD
Nkoso Kevani Lebon et Mfuru Ngonke Trésor viennent d’être investis respectivement comme Gouverneur et Vice-Gouverneur de la Province du Maï-Ndombe. L’ordonnance portant leur investiture a été lue ce Jeudi, 26 Juillet 2024 à la Télévision Nationale ( RTNC ).
Cette investiture intervient après l’étape des contentieux devant les instances judiciaires du pays notamment à la Cour d’Appel du Maï-Ndombe faisant office de la Cour administrative en Province ainsi qu’au Conseil d’État.
Le 29 Mai dernier, Lebon Nkoso Kevani et Trésor Mfuru Ngonke ont été élus Gouverneur et Vice-Gouverneurde la Province du Maï-Ndombe avec 10 voix contre 08 sur les 18 votants au second tour lors des élections organisées à Inongo chef lieu des institutions Provinciales l’Assemblée Provinciale.
Pour rappel, Lebon Nkoso Levani est originaire du territoire de Kutu et est un cadre au sein de l’APOCM « Alliance des Paysans, des Ouvriers et de la classe moyenne pour un développement durable » dont Abdon Etina Bekile Ipan est l’Autorité Morale mais par contre Trésor Mfuru Ngonke est un cadre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social ( UDPS / Tshisekedi ) que dirige Augustin Kabuya Tshilumba et est originaire du territoire de Mushie, ont ainsi gagné ce poste face à d’autres candidats, dont Aimé Pascal Mongo Lokonda qui a obtenu 09 voix au premier tour et 08 au second tour.
Il sied de préciser qu’avant leur élection comme Gouverneur et Vice-Gouverneur du Maï-Ndombe, Lebon Nkoso Kevani fût Député Provincial à la législature de 2018 et candidat malheureux à la Dépuration Nationale à la circonscription électorale du territoire de Kutu en la Province du Maï-Ndombe et Trésor Mfuru Ngonke fût pour lui candidat malheureux à la Dépuration Provinciale sur la liste de l’UDPS / Tshisekedi à la circonscription électorale de Mushie dans le Maï-Ndombe et ils sont tous deux de l’Union Sacrée malgré ils s’étaient présentés comme des indépendants à ces scrutins.
Politique : La Jeunesse de l’UDPS grand Bandundu retire leur confiance à Augustin Kabuya au poste du Secrétaire Général et Président intérimaire de leur parti( Déclaration )
Affrontements Teke et Yaka : « Il ne s’agit plus d’un simple conflit interethnique mais plutôt d’une guerre plus dangereuse que celle de l’Est » (Stéphane Ikoko)
La rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD
Depuis plusieurs mois, les provinces du Maï-Ndombe et du Kwango (RDC) sont le théâtre d’un conflit interethnique de plus en plus violent et macabre. Les affrontements opposent principalement les communautés Teke et Yaka, deux groupes ethniques ayant cohabité pendant des décennies, mais dont les tensions se sont intensifiées récemment en raison de différends territoriaux et de revendications politiques.
Face à cette situation critique, des voix se sont élevées à plusieurs reprises pour appeler à une résolution durable du conflit, mais cela n’a pas tenu gain de cause. Des leaders religieux, des représentants de la société civile et des experts en résolution de conflits ont plaidé pour un dialogue inclusif et une réconciliation entre les communautés Teke et Yaka, mais cela n’a pas complètement cessé les hostilités. Qu’à cela ne tienne, ils continuent d’insister sur la nécessité de restaurer la confiance et de promouvoir des mécanismes de cohabitation pacifique.
Selon les dires du secrétaire exécutif du gouvernement provincial de Maï-Ndombe, Stéphane Ikoko Mbo, ce n’est plus un conflit interethnique mais plutôt une guerre dangereuse, plus que celle de l’Est de la RDC.
« Le phénomène Mobondo dans les provinces du Maï-Ndombe et Kwango n’est plus un conflit interethnique, c’est une guerre très dangereuse, plus que dans l’Est du pays. Corneille Nangaa et les rebelles du M23 ont 2000 km à traverser pour atteindre la capitale congolaise, Kinshasa. Par contre, les Mobondo n’ont qu’un mètre (frontière commune Kinshasa-Maï-Ndombe) », a déploré Stéphane Ikoko.
Pour ce patriote engagé, cela n’est pas un fait normal, « le Chef de l’État est appelé à décréter un état de siège dans les provinces de Maï-Ndombe et Kwango pour arrêter cette guerre. »
« Les populations qui meurent à Mai-Ndombe et Kwango ne sont pas moins valeureuses que celles de l’Est du pays. La nomination des gouverneurs militaires est sine qua non », a-t-il dénoncé.
Le conflit interethnique qui sévit dans les provinces de Mai-Ndombe, piloté par la milice Mobondo, est un rappel douloureux des fragilités et des défis auxquels la RDC est confrontée en matière de cohésion sociale et de développement. Alors que les tensions persistent, il est impératif de trouver des solutions pacifiques et inclusives pour permettre aux communautés affectées de reconstruire leurs vies et de vivre en harmonie. L’avenir de la région dépendra de la capacité des parties prenantes à s’engager dans un processus de paix véritable et durable.
Depuis plusieurs mois, les provinces du Mai-Ndombe et du Kwango (RDC) sont le théâtre d’un conflit interethnique de plus en plus violent et macabres. Les affrontements opposent principalement les communautés Teke et Yaka, deux groupes ethniques ayant cohabité pendant des décennies mais dont les tensions se sont intensifiées récemment en raison de différends territoriaux et de revendications politiques.
Face à cette situation critique, des voix s’est levée à plusieurs reprises pour appeler à une résolution durable du conflit, mais cela n’a pas tenu gain de cause. Des leaders religieux, des représentants de la société civile et des experts en résolution de conflits ont plaidé pour un dialogue inclusif et une réconciliation entre les communautés Teke et Yaka, mais cela n’a pas complètement cessé les hostilités. Qu’à cela ne tienne,
Ils continuent d’insister sur la nécessité de restaurer la confiance et de promouvoir des mécanismes de cohabitation pacifique.
Selon les dires du secrétaire exécutif du gouvernement provincial de Mai-Ndombe, Stéphane Ikoko Mbo, ce n’est plus un conflit interethinique mais plutôt une guerre dangereuse plus que celle de l’Est de la RDC.
« Le phénomène Mobondos dans les provinces du Mai-ndombe et Kwango n’est plus un conflit interethnique, c’est une guerre très dangereuse plus que dans l’Est du pays.
Corneil Nanga et les rebelles du M23 ont 2000 Km à traverser pour atteindre la capitale congolaise, Kinshasa. Par contre les Mobondos n’ont que 1 mètre (frontière commune Kinshasa- Mai-
Ndombe) », a déploré Stéphane Ikoko.
Pour ce patriote engagé, cela n’est pas un fait normal, « le Chef de l’Etat est appelé à décréter un état de siège dans les provinces de Mai-Ndombe et Kwango pour arrêter cette guerre. »
« Les populations qui meurent à Mai-Ndombe et Kwango ne sont pas moins valeureuses que celles de l’Est du pays. La nomination des gouverneurs militaires est sine qua non», a-t-il dénoncé.
Le conflit interethnique qui sévit dans les provinces de Mai-Ndombe, piloté par la milice Mobondo est un rappel douloureux des fragilités et des défis auxquels la RDC est confrontée en matière de cohésion sociale et de développement. Alors que les tensions persistent, il est impératif de trouver des solutions pacifiques et inclusives pour permettre aux communautés affectées de reconstruire leurs vies et de vivre en harmonie. L’avenir de la région dépendra de la capacité des parties prenantes à s’engager dans un processus de paix véritable et durable.
RDC : « Aucune église ne peut s’installer dans un rayon de 500 mètres par rapport à une autre » (Circulaire du ministère de la Justice)
RDC – Séminaire gouvernemental : Félix Tshisekedi invite l’exécutif national à s’attaquer aux questions de développement, de gouvernance et de justice sociale