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Par Bertin Kasiama

Suite à la montée des cas de tueries, kidnappings, vols et violences, ainsi que le banditisme urbain dans la ville-province de Kinshasa, le nouveau chef de la police provinciale, le général Blaise Kilimbalimba est appelé à relever un défi afin de concilier à la réalité Kinoise, l’une de ces promesses faites lors de sa prise de fonction en qualité du Commissaire divisionnaire de la province de Kinshasa.
Devant une « Police mal équipée pendant 18 ans », comme l’a souligné le Président de la République, le général Blaise Kilimbalimba a pris le ferme engagement de faire de la lutte contre l’insécurité son cheval de bataille.
Face à une population qui n’a guère confiance à sa Police, le nouveau chef de la Police est appelé à donner le meilleur de lui-même en vue d’assurer la sécurité des citoyens et leurs biens au vrai sens du mot.
En outre, les autorités compétentes, en l’occurrence, le ministère de l’Intérieur doit tout mettre en œuvre en faveur de l’administration Policière pour pouvoir permettre à la hiérarchie de la PNC de mettre en place des stratégies qui pourront positivement impacter dans le processus d’éradication de l’insécurité à Kinshasa.
De surcroît, le recrutement des éléments qualifiés est exigé dans le chef d’une Police de qualité. Des éléments dotés d’une morale et instruits.
L’insécurité à Kinshasa est dénoter par des viols à répétition et tueries en cascade.
Pour y remédier, l’implication personnelle du nouveau chef de la Police est sollicitée par la population. Il doit veiller au bon fonctionnement des bureaux de Police de proximité disséminés dans la capitale.
Un autre aspect important de cette insécurité est celle de la psychose créée par une unité de la Police, communément appelé « Ujana ». Ces éléments Ujana ont instauré leur propre système de fonctionnement de la Police. Ils tracassent la population à ciel ouvert. Des arrestations arbitraires, etc.