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Affrontements Teke et Yaka : « Il ne s’agit plus d’un simple conflit interethnique mais plutôt d’une guerre plus dangereuse que celle de l’Est » (Stéphane Ikoko)

La rédaction : +243818143137
ACTU NGOLO TV HD

Depuis plusieurs mois, les provinces du Maï-Ndombe et du Kwango (RDC) sont le théâtre d’un conflit interethnique de plus en plus violent et macabre. Les affrontements opposent principalement les communautés Teke et Yaka, deux groupes ethniques ayant cohabité pendant des décennies, mais dont les tensions se sont intensifiées récemment en raison de différends territoriaux et de revendications politiques.

Face à cette situation critique, des voix se sont élevées à plusieurs reprises pour appeler à une résolution durable du conflit, mais cela n’a pas tenu gain de cause. Des leaders religieux, des représentants de la société civile et des experts en résolution de conflits ont plaidé pour un dialogue inclusif et une réconciliation entre les communautés Teke et Yaka, mais cela n’a pas complètement cessé les hostilités. Qu’à cela ne tienne, ils continuent d’insister sur la nécessité de restaurer la confiance et de promouvoir des mécanismes de cohabitation pacifique.

Selon les dires du secrétaire exécutif du gouvernement provincial de Maï-Ndombe, Stéphane Ikoko Mbo, ce n’est plus un conflit interethnique mais plutôt une guerre dangereuse, plus que celle de l’Est de la RDC.

« Le phénomène Mobondo dans les provinces du Maï-Ndombe et Kwango n’est plus un conflit interethnique, c’est une guerre très dangereuse, plus que dans l’Est du pays. Corneille Nangaa et les rebelles du M23 ont 2000 km à traverser pour atteindre la capitale congolaise, Kinshasa. Par contre, les Mobondo n’ont qu’un mètre (frontière commune Kinshasa-Maï-Ndombe) », a déploré Stéphane Ikoko.

Pour ce patriote engagé, cela n’est pas un fait normal, « le Chef de l’État est appelé à décréter un état de siège dans les provinces de Maï-Ndombe et Kwango pour arrêter cette guerre. »

« Les populations qui meurent à Mai-Ndombe et Kwango ne sont pas moins valeureuses que celles de l’Est du pays. La nomination des gouverneurs militaires est sine qua non », a-t-il dénoncé.

Le conflit interethnique qui sévit dans les provinces de Mai-Ndombe, piloté par la milice Mobondo, est un rappel douloureux des fragilités et des défis auxquels la RDC est confrontée en matière de cohésion sociale et de développement. Alors que les tensions persistent, il est impératif de trouver des solutions pacifiques et inclusives pour permettre aux communautés affectées de reconstruire leurs vies et de vivre en harmonie. L’avenir de la région dépendra de la capacité des parties prenantes à s’engager dans un processus de paix véritable et durable.

Depuis plusieurs mois, les provinces du Mai-Ndombe et du Kwango (RDC) sont le théâtre d’un conflit interethnique de plus en plus violent et macabres. Les affrontements opposent principalement les communautés Teke et Yaka, deux groupes ethniques ayant cohabité pendant des décennies mais dont les tensions se sont intensifiées récemment en raison de différends territoriaux et de revendications politiques.

Face à cette situation critique, des voix s’est levée à plusieurs reprises pour appeler à une résolution durable du conflit, mais cela n’a pas tenu gain de cause. Des leaders religieux, des représentants de la société civile et des experts en résolution de conflits ont plaidé pour un dialogue inclusif et une réconciliation entre les communautés Teke et Yaka, mais cela n’a pas complètement cessé les hostilités. Qu’à cela ne tienne,
Ils continuent d’insister sur la nécessité de restaurer la confiance et de promouvoir des mécanismes de cohabitation pacifique.

Selon les dires du secrétaire exécutif du gouvernement provincial de Mai-Ndombe, Stéphane Ikoko Mbo, ce n’est plus un conflit interethinique mais plutôt une guerre dangereuse plus que celle de l’Est de la RDC.

« Le phénomène Mobondos dans les provinces du Mai-ndombe et Kwango n’est plus un conflit interethnique, c’est une guerre très dangereuse plus que dans l’Est du pays.
Corneil Nanga et les rebelles du M23 ont 2000 Km à traverser pour atteindre la capitale congolaise, Kinshasa. Par contre les Mobondos n’ont que 1 mètre (frontière commune Kinshasa- Mai-
Ndombe) », a déploré Stéphane Ikoko.

Pour ce patriote engagé, cela n’est pas un fait normal, « le Chef de l’Etat est appelé à décréter un état de siège dans les provinces de Mai-Ndombe et Kwango pour arrêter cette guerre. »

« Les populations qui meurent à Mai-Ndombe et Kwango ne sont pas moins valeureuses que celles de l’Est du pays. La nomination des gouverneurs militaires est sine qua non», a-t-il dénoncé.

Le conflit interethnique qui sévit dans les provinces de Mai-Ndombe, piloté par la milice Mobondo est un rappel douloureux des fragilités et des défis auxquels la RDC est confrontée en matière de cohésion sociale et de développement. Alors que les tensions persistent, il est impératif de trouver des solutions pacifiques et inclusives pour permettre aux communautés affectées de reconstruire leurs vies et de vivre en harmonie. L’avenir de la région dépendra de la capacité des parties prenantes à s’engager dans un processus de paix véritable et durable.

Crise à l’UDPS : Tombé en disgrâce, Kabuya brandit sa qualité de président ad-interim du parti et exhorte les combattants à l’unité

Par Ghislain MADUALI
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En référence à la Résolution n°01/UDPS/CON-EXTRA/23 adoptée lors du Congrès Extraordinaire du 26 août 2023, Augustin Kabuya, Secrétaire Général faisant fonction de Président intérimaire de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), a publié un communiqué exhortant tous les membres du parti à rester unis et vigilants en cette période critique de l’histoire de la nation.

Kabuya a insisté sur l’importance de la cohésion et du soutien envers le Chef de l’État dans la lutte contre l’agression et l’occupation de l’Est du pays par l’armée rwandaise et ses alliés du M23. Il a souligné que, dans cette période cruciale, l’unité du parti est essentielle pour surmonter les défis auxquels la nation est confrontée.

*Appel au Calme et à la Solidarité*

La direction du Parti a mis l’accent sur la nécessité du calme, de la sérénité et de l’unité parmi ses membres. Dans son communiqué, Kabuya a exhorté la base du Parti à apporter un soutien inconditionnel aux efforts du gouvernement pour défendre l’intégrité territoriale et maintenir la stabilité du régime.

*Respect des Textes et Vigilance*

En rappelant l’importance de respecter les textes fondateurs de l’UDPS, Augustin Kabuya a souligné que ces textes sont le patrimoine commun du Parti. Il a également averti contre les tentatives de déstabilisation orchestrées par les ennemis du Parti, appelant à une vigilance accrue de la part de tous les combattants.

En Conclusion, le communiqué de l’UDPS, signé par Augustin Kabuya, réaffirme la détermination du Parti à se tenir aux côtés du Chef de l’État et à œuvrer pour la paix et l’unité nationale. En cette période de défis, l’appel à l’unité et à la vigilance résonne comme un rappel crucial de l’engagement collectif nécessaire pour surmonter les obstacles actuels.

Maï-Ndombe : Les meubles de la résidence du Gouverneur clandestinement emportés par Rita Bola

Par : Osée Ngolo
Rédaction : +243818143137
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Le Gouverneur sortant de la province de Maï-Ndombe, Rita Bola, a quitté Inongo ce mercredi 17 juillet 2024 à bord d’un avion d’Air Kasaï, malgré l’interdiction de quitter la ville émise par l’Assemblée provinciale. Celle-ci avait officiellement saisi la direction générale de migration de Maï-Ndombe pour empêcher son départ.

*Départ controversé*

Lors de son départ, une situation alarmante a été constatée : Rita Bola a emporté tous les meubles de la résidence officielle du Gouverneur. Parmi les biens déplacés, on compte des chaises, tables, armoires, lits, et bien d’autres objets. La maison est désormais totalement vide, laissant la population et les autorités locales dans la stupéfaction.

*Implications et réactions*

Cette action a suscité de vives réactions parmi les habitants de la province et les membres de l’Assemblée provinciale. Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme un acte de pillage des biens publics. « C’est un scandale sans précédent dans l’histoire de notre province, » a déclaré un député provincial sous couvert d’anonymat.

*Enquête en cours*

Selon des sources fiables, le Gouverneur Rita Bola envisage également de s’approprier le véhicule officiel, acquis avec les fonds de la province, sous prétexte qu’il lui appartiendrait. Les services de sécurité de la province de Maï-Ndombe sont désormais chargés de mener des enquêtes pour retrouver ces meubles et éclaircir cette situation. Un comité spécial a été formé pour suivre de près cette affaire et garantir que les biens publics soient restitués.

*Contexte politique*

Ce départ tumultueux s’inscrit dans un contexte politique tendu en Maï-Ndombe. Rita Bola, qui a été au centre de plusieurs controverses durant son mandat, fait face à des accusations de mauvaise gestion et de détournement de fonds publics. Son départ précipité et les circonstances entourant le déménagement des meubles ajoutent une nouvelle couche de complexité à la situation politique de la province.

*Appel à la transparence*

Les citoyens et les leaders d’opinion appellent à une transparence totale dans cette affaire. « Il est essentiel que justice soit rendue et que tous les responsables de cet acte soient traduits en justice, » a déclaré un activiste de la société civile.

La population de Maï-Ndombe attend avec impatience les résultats de l’enquête et espère que cette affaire servira de leçon pour les futurs dirigeants de la province.