Par I’Ch
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ACTUNGOLO TV
En République Démocratique du Congo (RDC), les jeunes, originaires de la province du Kwilu, réunis au sein de l’AJK (Association des Jeunes du Kwilu), ont exprimé le vœu de soutenir et d’accompagner le Chef de l’État, Félix Tshisekedi, pour la réussite de son deuxième mandat à la tête du pays afin de permettre le développement.
C’est ce que rapporte une correspondance de cette structure signée samedi 11 mai et adressée au président Tshisekedi, dont copie est parvenue à ACTUNGOLO.COM.
« (…) Nous sommes l’Association des
Jeunes du Kwilu, AJK en sigle, une structure d’éveil de la conscience collective des Jeunes du Kwilu pour le développement. Nous saluons affectueusement votre second quinquennat et nous vous rassurons non seulement notre soutien, mais aussi notre accompagnement dans le Kwilu avec des actions positives pour la réussite de ce second mandat », a écrit Osée Ngolo, président de cette structure, au Président Félix Tshisekedi.
Et d’ajouter : « Excellence, nous ne ménagerons aucun effort pour la réussite de ce quinquennat, étant donné qu’en cas d’échec, ce n’est pas vous qui échouerez, mais plutôt toute la nation, et de même pour la réussite; c’est pourquoi nous avons lever l’option de mobiliser les Jeunes dans le Kwilu afin qu’ensemble nous puissions travailler pour le développement ».
Occasion faissant le larron, l’AJK invite le Garant de la Nation à la vigilance sociale, pour qu’aucun acte d’injustice ne soit commis au détriment d’un fils du Grand Bandundu en général et de celui du Kwilu en particulier, car souligne-t-elle, nous sommes dans un État de droit.
Dans le même sens, cette organisation de jeunes consciencieux du Kwilu demande à la Première Ministre, Cheffe du Gouvernement, de rester également vigilante envers son équipe pour que chacun pratique la justice afin de favoriser la cohésion sociale dans notre très cher et beau pays, car, le peuple congolais a besoin de paix et de pain.
Notons que cette correspondance de l’AJK intervient au moment où une frange de l’opinion nationale craint que l’espace « Grand Bandundu » ne soit pas suffisamment représenté dans l’architecture politique du pays.